Ce qui fait le succès d’une entreprise est sa capacité à produire un bien ou un service qui répond à un besoin donné tout en entretenant un esprit de compétition dans les services, le niveau des services et la valeur ajoutee de cette entreprise. Cette production est principalement conditionnée par la mise en association du travail et du capital. Découvrez dans cet article tout ce qu’il y a à savoir sur cette combinaison gagnante.
Clarification des facteurs de production
Travailler consiste à mobiliser des ressources physiques et intellectuelles d’une personne pour produire un bien ou un service. Ainsi, le travail peut être à une activité à caractère manuel ou intellectuel et requiert des qualifications relatives. En plus, ces mains d’œuvre mobilisées peuvent être indépendantes ou solliciter à temps plein, donc, respectivement non-salariés et salariés.
Quant au facteur capital, il relève du patrimoine de la société ou des fonds mis à la disposition de celle-ci par les actionnaires. En outre, il est à caractère fixe ou circulant. On dit qu’il est fixe lorsqu’il s’agit d’un fonds dédié à un cycle de création durable. Ainsi, il doit être tourné pendant plus d’une année. Par ailleurs, on dit qu’il est circulant lorsqu’il est utilisé pendant le processus de création.
La combinaison des facteurs de production
Tout d’abord, les associations agricoles productive utilisent une tactique qui revient à déployer au profit de l’unité de création une certaine quantité de travail et de capital pour donner vie à un bien ou service dans le secteur pour augmenter sa valeur ajoutée. Pour combiner les facteurs, les agricoles tiennent compte de la complémentarité et de leur substituabilité.
Ils sont substituables lorsqu’on peut remplacer une portion de donnée d’un facteur par celle de l’autre sans que le rythme de création soit impacté. Ainsi, si dans une entreprise agricole par exemple, on permute une activité exercée par l’homme par une machine agricole, on dira qu’il y a eu une substitution du travail au capital. Par contre, la complémentarité veut une interdépendance entre deux facteurs pour aboutir à une bonne productivité.
Que doit prendre en compte une entreprise pour opter pour une association ?
Quel que soit le secteur, les entreprises doivent tenir compte d’un certain nombre de critères avant d’adopter une association. Le premier paramètre à considérer ici est la technique de création utilisée. Ensuite, l’aspect économie doit être intégré à ces paramètres.
En effet, la tâche consistera ici à évaluer le coût de création du service ou du bien additionné au coût de sa commercialisation. Pour cela, il faut tenir comptés de la charge des salaires, des contributions sociales et la charge relative à biens matériels utilisés dans le cycle de création. Enfin, les entreprises doivent garder en ligne de mire leur mission première : celle de réaliser des profits.
Le rapport entre l’échelle de création et les rendements
L’échelle de création est définie par l’association productive engagée par quantité de bien ou de service créé au sein de l’unité de production. Ainsi, il faut suivre l’évolution des charges en fonction de la progression de l’échelle de création.
On parlera d’économie d’échelle ou de croissance de rendement lorsque la quantité de bien ou service crée augmente alors que les charges de création diminuent. Dans ce cas, on arrive à la conclusion que la combinaison adoptée par la société est optimale. Par conséquent, elle a atteint un niveau optimal de productivité.